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L’application 24 images est une application gratuite pour tablettes (Ipad et Android). Véritable magasin numérique, elle donne accès à des numéros de 24 images « augmentés »: l’intégralité du numéro papier + des textes et contenus inédits. Lorsque vous achetez un numéro (tarifs ci-bas), il est téléchargé sur votre tablette et dès lors disponible en tout temps.

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NUMÉROS DISPONIBLES : 
Tous les numéros sont disponibles sur notre application tablette depuis le n°174 (octobre 2015)

NUMÉRO 192 (SEPTEMBRE 2019) :  L’HORREUR POLITIQUE
A priori, la politique n’est pas le sujet de l’horreur – ou, du moins, de l’horreur classique. Tout un pan du cinéma d’horreur contemporain tend à nous faire oublier le potentiel politique du genre. Au caractère plus psychologique ou parfois purement formaliste de cette production, dont le discours s’avère parfois carrément réactionnaire, s’oppose cependant une longue tradition de l’horreur politique dont un cinéaste comme Jordan Peele aurait repris le flambeau. Du Golem en 1920 à Us en 2019, le présent numéro, coordonné par Alexandre Fontaine Rousseau, explore le potentiel cathartique, critique et profondément engagé d’un type de cinéma trop souvent considéré comme mineur par la critique traditionnelle. Or, par ses exigences et ses conditions de production, le cinéma dit « d’exploitation » a su être souvent un espace privilégié pour traiter de sujets qu’un cinéma prétendument plus respectable n’ose pas aborder. Pour certains cinéastes, l’économie du cinéma de genre deviendra ainsi une arme politique. Des films de blaxploitation à l’ozploitation (cinéma de genre australien), des slashers aux œuvres expérimentales de Pere Portabella, des zombies nazis aux horreurs enfouies de l’Espagne franquiste, c’est tout un pan de l’histoire récente du monde et du cinéma que ce numéro évoque à travers des analyses de fond et un index de 70 films à découvrir. Un numéro dédié à Wes Craven, Tobe Hooper, George A. Romero et Larry Cohen, quatre figures essentielles du cinéma de genre qui nous ont quittés au cours des dernières années. À travers le cinéma d’horreur, le politique est indéniablement une source d’angoisse.

NUMÉRO 191 (JUIN 2019) :  LES NOUVEAUX TERRITOIRES DU CINÉMA QUÉBÉCOIS
Quelle image du Québec le cinéma propose-t-il aujourd’hui ? Depuis 2012, année de publication de notre numéro sur « 200 films québécois qu’il faut avoir vus », le paysage cinématographique a changé. De nouveaux cinéastes sont apparus, certains ont développé leur œuvre de façon imprévisible, les vidéoclubs ont à peu près disparu, et de nombreuses préoccupations liées à la diversité des regards et des sujets ont pris le devant de la scène. Ce sont ces nouveaux « territoires » que nous désirons mettre de l’avant, sans oublier pour autant le chemin parcouru : Caroline Monnet rencontre Alanis Obomsawin, Geneviève Dulude-De Celles rencontre Micheline Lanctot, des entrevues avec Loïc Darses, Marcel Jean, un texte d’Emilie Poirier sur le court-métrage, etc.… plus un index de 65 films pour jalonner cette période! Un numéro à lire, à réfléchir et à conserver!

NUMÉRO 190 (MARS 2019) :  LA SÉRIEPHILIE – LE FUTUR DU CINÉMA?
Le numéro du printemps de la revue 24 images porte sur l’intérêt grandissant des cinéphiles pour les séries télé, dont les qualités cinématographiques ne cessent également de croître. Il est par ailleurs de plus en plus commun de voir techniciens et réalisateurs passer du grand au petit écran. Toutefois, même si l’enveloppe esthétique se raffine (au rythme où les budgets augmentent) la série reste fortement une affaire de scénaristes et de concepteurs, axée sur l’évolution de plusieurs personnages sur un long laps de temps, dans une structure de moins en moins épisodique et de plus en plus continue, favorisant ainsi l’écoute en rafale. Séries québécoises, étrangères, de Netflix ou encore séries-laboratoires et séries au cœur de nouvelles pratiques culturelles, les collaborateurs et collaboratrices offrent un riche portrait de ce médium actuel et un index de 30 séries de la dernière décennie, à voir ou à revoir.

NUMÉRO 189 (DÉCEMBRE 2018) :  CINÉMA ET LITTÉRATURE
 Auteurs vampirisés par le cinéma, films obsédés par la littérature, cinéastes/écrivains, écrivains/cinéastes, ce ne sont que quelques pistes abordées dans ce numéro… » En effet, le numéro d’hiver de la revue 24 images propose un dossier aux multiples angles et prises de vues, sur les affinités entre le cinéma et la littérature, loin d’une simple compilation de cas de figure d’adaptations plus ou moins heureuses. De l’influence de la littérature sur les cinéastes et vice-versa, aux auteurs jugés inadaptables ou trop adaptés, les collaborateurs et collaboratrices de 24 images donnent à réfléchir et présentent du même pas un index de 40 adaptations à (re)découvrir. Retrouvez aussi au sommaire, la série Sharp Objects, le jeu vidéo The Sexy Brutale dérivé du même concept que Le jour de la marmotte, une recension de Décadrages de Robert Lévesque et plusieurs commentaires critiques de films récemment sortis.

NUMÉRO 188 (SEPTEMBRE 2018) :  LES MASQUES DU RÉEL
24 images vous invite à un voyage aux confins de la fiction et du documentaire . Jouer avec les codes du documentaire et de la fiction, c’est sans équivoque tendre vers un effet de réalisme, la recherche d’une certaine authenticité, peu importe le point de vue que l’on adopte. À travers la fiction, le documentaire tente d’atteindre « une certaine vérité de l’expérience vécue ». À travers le documentaire, la fiction nous amène à réfléchir à notre lecture des images, entre autres. Le dossier, étoffé, est complété par un index de 40 films voguant entre fiction et documentaire. Ensuite, les « Chemins de traverse » proposent un regard sur la série Westworld, un détour par le court-métrage en réalité virtuelle, puis par l’univers de Kira Mouratova. Enfin, les collaborateur.trice.s de la revue donnent leur point de vue sur plusieurs sorties récentes dont Happy Hour et BlacKkKlansman.

NUMÉRO 187 (JUIN 2018) :  1968… ET APRÈS?
Premier numéro de son nouveau format, entre le livre et la revue, cette édition estivale de 24 images consacre un riche dossier au cinéma de 1968. C’est l’occasion pour les collaborateur.trice.s. de la revue d’envisager les événements de 68, dont le fameux mois de Mai, dans un spectre plus large que celui du cinéma français, dont la contribution n’en reste pas moins mémorable. C’est donc sur les réalisatrices cubaines, les collectifs japonais, les étudiants mexicains, les cinéastes québécois, les documentaristes américains et les cinématographies de l’Europe de l’Est que se braquent les projecteurs des auteur.trice.s. Le dossier est agrémenté d’une liste de 68 films, des années 1960 à aujourd’hui, qui semblaient refléter le mieux les bouleversements vécus par le cinéma durant les années 60 et après. Tous sont porteurs de l’esprit contestataire, révolté et subversif au cœur de Mai 68. Le numéro est complété par les chroniques : jeu vidéo et cinéma, recension d’écrit, série télé, et autres critiques de sorties récentes.

NUMÉRO 186 (MARS 2018) :  WESTERN – Histoires parallèles
Par l’ampleur de son dossier et la proposition d’un index de films, ce numéro anticipe sur le changement de la revue (entre livre et revue, voir n°187), tout en étant le dernier numéro publié dans l’ancien format et l’ancien graphisme. Ce numéro s’intéresse au genre du western et à ses histoires parallèles. Genre dont la mort a été annoncée aussi souvent que celle du cinéma dans son ensemble, le western, même si son âge d’or est terminé, n’a pas dit son dernier mot et ses thèmes, qui ont fortement imprégné l’imaginaire occidental, continuent de résonner dans la culture populaire, les projets de films et de séries à travers les nombreux emprunts au genre qu’on y retrouve. La revue opte pour une série de gros plans sur des aspects plus inusités ou en apparence marginaux du genre afin de privilégier les découvertes et de réfléchir sur la nature autocritique et polymorphe du western, que ce soit du côté des cinéastes américains, québécois, italiens, russes ou japonais. 24 images vous propose en ce sens une liste de 101 westerns à découvrir ou redécouvrir.

NUMÉRO 185 (DÉCEMBRE 2017) :  2017 – BILAN ET DÉCOUVERTES
Un numéro bilan, comme chaque fin d’année. La rédaction y présente son palmarès annuel, qu’elle a d’ailleurs fait passer de 10 à 15 titres jugeant que la qualité des productions était trop grande pour se limiter à dix. De plus, la rédaction avait envie de soutenir plus de 10 films et d’inclure une plus grande variété de propositions. Pour parer à d’éventuelles récriminations, elle précise que son palmarès est davantage celui des films vus par la rédaction qu’un réel palmarès annuel, mais qu’intitulé leur numéro « bilan septembre-octobre-novembre-début décembre 2017 » leur semblait beaucoup moins vendeur… « Des films modestes, mais grandioses. » voilà ce qui résume leur bilan. Le film occupant leur première place, The Florida Project, est d’ailleurs de cette trempe. Le numéro souligne aussi la vitalité d’un certain cinéma de genre, l’arrivée au long-métrage de jeunes talents québécois prometteurs et la grande forme de vétérans.

NUMÉRO 184 (OCTOBRE 2017) :  DAVID LYNCH
Artiste multidisciplinaire, et avec le succès populaire de Twin Peaks : The return, un des rares cinéastes à encore relever le défi de rassembler critique, cinéphile et grand public, Lynch est un touche-à-tout. Le premier article du dossier présente d’ailleurs son travail d’artiste visuel. Puis, avec de multiples et divers angles d’approches, les collaborateurs de ce dossier spécial abordent la filmographie du cinéaste, de ses premiers courts-métrages à Inland Empire, son dernier film avant le retour de Twin Peaks en 2017, en passant par The Elephant ManDuneBlue VelvetLost Highway et Mulholland Drive. Se définissant comme un « constructeur de mondes », il est certes un créateur hors-norme probablement le plus célèbre des cinéastes narratifs d’avant-garde selon Dennis Lim. Ses films sont loin d’avoir épuisé leurs mystères, malgré l’abondance d’écrits qu’ils ont suscités et susciteront encore.

NUMÉRO 183 (AOÛT 2017) :  ANNÉES 1980 – Laboratoire d’un cinéma populaire
24 images explore l’influence du cinéma populaire des années 1980 sur les films d’aujourd’hui. L’objectif est de réévaluer cette période cinématographique singulière reconnue entre autres pour son obsession envers les évolutions technologiques ou la suprématie des synthétiseurs dans ses bandes-son. Il s’agit aussi de tenter de définir l’essence de cette décennie qui, comme le dit Julien Fonfrède, responsable du dossier, « alternai[t] sans complexe le sublime et le grotesque », le divertissement et l’émotion. De plus, deux nouvelles chroniques s’ajoutent, l’une sur les séries où il est question de The Handmaid’s Tale adaptée du roman de Margaret Atwood et l’autre sur les liens entre cinéma, jeux vidéos et projets interactifs qui se penche sur le projet de réalité virtuelle d’Alejandro González Iñárritu et le jeu vidéo This War of Mine.

NUMÉRO 182 (MAI 2017) :  CINÉMA + THÉATRE – Abattre les murs
 Il est plus important que jamais d’abattre les murs, de décloisonner la cinéphilie, mais aussi la nature des voix qui s’expriment sur et autour du cinéma.  C’est pourquoi 24 images ouvre ses pages d’été au théâtre. Se détournant de la compilation de films tirés de texte dramatique, ce numéro s’intéresse au passage de l’écran à la scène et aux démarches singulières d’hommes et de femmes de théâtre passionnés et inspirés par le 7e art. Le décloisonnement créatif est également mis de l’avant avec un hommage à Seijun, un survol personnel de Ralph Elawani sur le cinéma et la contre-culture à Montréal, un dernier salut à l’acteur Tomás Milián, aussi à l’aise dans la série B que chez Antonioni, et une tragédie théâtrale en 4 chants sur l’histoire de l’art vidéo.

NUMÉRO 181 (MARS 2017) :  CINÉMA QUÉBÉCOIS – Regards pluriels
Pour ce premier numéro de l’année, notre dossier est consacré au cinéma québécois, à ses forces vives et à la singularité de regards atypiques, souvent radicaux et politiques. Un débat sur Ceux qui font la révolution… de Mathieu Denis et Simon Lavoie, un retour sur Combat au bout de la nuit de Sylvain L’Espérance (tous les deux à Berlin cette année), mais aussi les derniers films de Sophie Goyette (auréolée de son prix à Rotterdam), Olivier Godin, Olivier Asselin… La liste est impressionnante! Pour souligner ce moment, une rencontre stimulante avec de jeunes cinéastes dont les courts métrages ont marqué le paysage de ces deux dernières années. Sur le DVD offert aux abonnés de la revue papier, sept films rassemblés sous le titre évocateur STARS ET MUTANTS : de nouvelles voix du cinéma québécois (Jean-Guillaume Bastien, Loïc Darses, Alexandre Dostie, Philippe David Gagné et Jean-Marc Roy, Émilie Mannering, Raphaël Ouellet et Nika Khanjani). Également au sommaire de ce numéro, un entretien avec Nadav Lapid, le début d’une chronique consacrée à Montréal et le cinéma (à l’occasion du 375e), un carnet de création signé Nicolas Klotz et Elisabeth Perceval, la rétrospective Alain Tanner, des critiques et plus encore!

NUMÉRO 180 (DÉCEMBRE 2016) : L’ANNÉE CINÉMA 2016 – Figures de résistance
De Toni Erdmann à Shin Godzilla, notre revue de l’année émaillée de portraits de femmes insoumises, de visions pessimistes de fin du monde, de l’omniprésence dérangeante des « migrants », le cinéma en 2016 n’abdique pas et à sa façon continue le combat; hommage à deux grands artistes, Pierre Étaix et Andrzej Wajda, qui eux aussi symbolisent toujours et encore cette vitalité d’un cinéma qui résiste; rencontre avec le cinéaste documentaire belge Pierre-Yves Vandeweerd « hanté par la disparition, par la nécessité de donner un visage et une voix aux oubliés du monde ».

NUMÉRO 179 (OCTOBRE 2016) : Le cinéma de genre au féminin
Andrea Arnold, Kathryn Bigelow, Josephine Decker, Marina de Van, Lucile Hadzihalilovic, Karyn Kusama, Stephanie Rothman, …; Focus sur Abbas Kiarostami; Focus et entretien avec Takashi Miike; Walt Disney à l’ère du transmedia; La théorie du tout de Céline Baril; des tonnes de critiques et plus !

NUMÉRO 178 (AOÛT 2016) : Le cinéma en partage – à la rencontre de l’art contemporain
Le cinéma vu par : Raymonde April, Dominique Blain, Martin Boisseau, Geneviève Cadieux, Serge Clément, Charles Guilbert, Thierry Marceau, Gilles Mihalcean, Natascha Niederstrass, Bertrand R. Pitt, Jonathan Plante et Martha Townsend); Également dans ce numéro une analyse de l’oeuvre et un entretien avec le cinéaste américain Whit Stilmann, un regard en biais sur Nicolas Winding Refn alias NWR, les chroniques habituelles et une foule d’autres textes.

NUMÉRO 177 (MAI 2016) : Être cinéphile en 2016;
Entretien avec Sylvain L’Espérance et carnet de création. Mais aussi Edward Yang, Noah Baumbach, Francis Mankiewicz, Andrzej Zulawski ; critiques de films (Un paradis pour tous ; Au-delà des montagnes ; L’étreinte du serpent ; Francophonia ; La désintégration ; Montréal la Blanche ; Batman v Superman ; Midnight Special ; Everybody Wants Some! ; The Mermaid ) ; liste de 10 scènes d’ascenseur inoubliables, etc.

HORS-SÉRIE 1 (FÉVRIER 2016) – CINÉMA QUÉBÉCOIS 2010-2015 : Une anthologie des textes publiés par 24 images sur le cinéma québécois des cinq dernières années ; focus sur 4 cinéastes (Denis Côté, Xavier Dolan, Dominic Gagnon, Rodrigue Jean) ; critiques de films ; entretiens ; tendances esthétiques et industrielles du cinéma québécois, etc.

NUMÉRO 176 (FÉVRIER 2016) : Entretiens avec Ben Wheatley, Thom Andersen et Denis Lavant ; les nouvelles pratiques documentaire ; le cas Star Wars ; hommages à Eduardo Coutinho et David Bowie ; critiques de films (Anomalisa ; Avril et le monde truqué ; Boris sans Béatrice ; Carol ; Cemetery of Splendour ; El Club ; Crimson Peak ; Dheepan ; Le fils de Saul ; The Hateful Eight ; Knight of Cups ; L’ombre des femmes ; The Witch ; liste de 11 scènes de rituels occultes au cinéma, etc.

NUMÉRO 175 (JANVIER 2016) : bilan de mi-décennie (films, critiques, distribution, transmédia, etc.) ; hommages à Chantal Akerman ; Top 10 2015 de la rédaction ; Entretiens avec Rabah Ameur-Zaïmeche, Guy Maddin et Evan Johnson ; critiques de films (Les démons ; The Exquisite Corpus ; of the North ; Pinocchio ; Malgré la nuit ; Spectre ; Bridge of Spies ; Over the Years ; In Jackson Heights ; liste de 11 scènes de cinéma dans le cinéma, etc.

NUMÉRO 174 (OCTOBRE 2015) : dossier musique et cinéma (de John Carpenter à Sogo Ishii) ; hommages à Chantal Akerman ; Entretiens avec Sabrina Ratté, Karl Lemieux, Frédérick Maheux, Daïchi Saïto et Bruno Forzani ; critiques de films (Quiet Zone ; Engram of Returning​ ; Cemetery of Splendour ; Ville-Marie ; Guibord s’en va-t-en guerre ; Sicario ; Paul à Québec ; Je suis à toi ; Le journal d’un vieil homme ; Tangerine ; L’institutrice ; Nouvelles, Nouvelles ; Turbo Kid ; The Tribe ; liste de 11 scènes d’hélicoptères dans le cinéma, etc.

Introduction

L’application 24 images est un magazine de cinéma nouveau genre, conçu exclusivement pour les tablettes. Publié cinq fois par an, il propose une expérience de lecture enrichie qui prend en compte les capacités de navigation et de design qu’offrent les tablettes. Loin d’être de simples liseuses électroniques, les tablettes permettent d’inventer de nouvelles interactions entre le texte, les images et les vidéos. Elles nous invitent à inventer la revue de cinéma de demain.

Les tablettes

Les tablettes représentent un croisement passionnant du web et de l’imprimé. Du premier, elles héritent de nombreuses possibilités interactives et non-linéaires. Du second, elles conservent l’idée d’objet de lecture conçu avec soin et d’une grande rigueur d’un point de vue visuel et éditorial.

 24 images et l’accessibilité

Depuis plus de dix ans, 24 images a toujours su s’adapter aux changements technologiques, afin de mieux rejoindre ses lecteurs. De la création d’un site web hebdomadaire dynamique à la production de DVDs en passant par une activité soutenue sur les réseaux sociaux, les initiatives n’ont pas manqué. L’application est ainsi une nouvelle étape importante dans la vie de la revue. Disponible dans le monde entier, sur App Store et Google Play, l’application 24 images répond dans un premier temps aux problèmes d’accessibilité que rencontrent les revues spécialisées depuis quelque temps. Mais ce n’est pas tout.

Contenus enrichis

À travers un design aussi sobre que dynamique, l’application 24 images vise à renouveler les possibilités d’une revue de cinéma à l’ère numérique. Partageant une partie de son contenu avec sa version imprimée, l’application propose dans un premier temps d’enrichir la lecture des articles à l’aide d’un plus grand nombre de photos et de liens vidéo, qui peuvent en outre dialoguer de façon plus stimulante avec le texte. Ses possibilités technologiques, qui restent à défricher, permettront assurément d’inventer une nouvelle façon d’écrire sur le cinéma, tout comme le web a donné naissance à une nouvelle forme de critique fondée sur la vidéo.

Contenus exclusifs

Afin de profiter des possibilités de navigation uniques aux tablettes, des contenus exclusifs ont été développés pour l’application. L’année cinéma invite ainsi le lecteur à parcourir les dates importantes de l’année à travers un panorama animé. Listomaniak permet d’utiliser le même outil afin d’offrir des listes aussi ludiques qu’inusitées, à l’image de ces meilleures scènes d’hélicoptère qui closent notre numéro de lancement. Les textes font parfois place à de superbes interludes photographiques. Les films mentionnés peuvent être immédiatement accessibles sur iTunes via un simple clic, etc. Sur tablette, l’application comporte également plus de critiques. La rubrique Reprises propose des relectures de classiques ou de redécouvertes, alors que la vidéothèque interdite se penche sur tous ces films hors-norme et négligés, sur les plaisirs coupables jouissifs et les objets non identifiables. Entre réflexion de fond et pur plaisir de cinéphile, l’application 24 images vise à représenter les multiples voies par lesquelles s’expriment un véritable amour du cinéma. Et ce n’est qu’un début. Le laboratoire vient d’ouvrir.

Nous reconnaissons l’appui financier du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du Canada pour les périodiques qui relève de Patrimoine canadien.

Cette application a été produite avec la participation de :

Tarifs

Le premier numéro (174 : son et vision) est offert au prix de lancement de : 1.49$
Par la suite, chaque numéro régulier sera offert au prix de : 3.99$
Un abonnement d'un an est disponible au prix de : 15$

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