À l’Excentris (Journal de France) et sur TFO (Profils paysans), l’occasion de fréquenter l’oeuvre d’un grand photographe ayant magistralement réussi le passage au documentaire.
Profession Depardon
par Robert Lévesque
Un retour sur La Dolce Vita et l’époque dans laquelle Fellini portraiturait une société de la futilité avec des yeux brillants d’intelligence.
“Marcello!”
par Robert Lévesque
Un premier film techniquement beau, politiquement pusillanime, dramatiquement plat : Le déserteur de Simon Lavoie.
Déserteur sans cause
par Robert Lévesque
Entre L’avventura et L’eclisse, il y eut La notte. La nuit, après l’aventure, avant l’éclipse. La trilogie d’Antonioni (1960 à 1962) multiplia défenseurs et contempteurs...
Les Années moroses
par Robert Lévesque
Quatorze minutes pour arriver (pan dans l’oeil) sur la Lune, où les acrobates des Folies-Bergères jouent les Sélénites. Offrez-vous Méliès...
Féerie d’autrefois
par Robert Lévesque
Antépénultième film de Truffaut, Le dernier métro misait sur deux sujets (le théâtre et l’Occupation) et remporta un triomphe...
Au théâtre en 1942
par Robert Lévesque
Depardieu en Raspoutine ? Dans un téléfilm dont la seule qualité est d’arriver pile-poil dans l’actualité de l’énergumène...
Gégé le gros
par Robert Lévesque
Clouzot était, comme Pialat, un homme fiévreux qui aurait pu lancer à la profession : vous ne m’aimez pas et je ne vous aime pas non plus...