Dimanche, la passion amoureuse réunissaient les deux films de la compétition. Todd Haynes s’en sort indéniablement avec plus d’éclat que Maïwenn.
Cannes 2015 : Carol vs Mon roi
par Jacques Kermabon
La vraie bataille du cinéma français Made in France se joue cette année à la Quinzaine des réalisateurs : Garrel en ouverture, Desplechin en plat de résistance.
Cannes 2015 : Garrel + Desplechin
par Philippe Gajan
Ma mère, de Nanni Moretti, nous a offert le premier tournant de ce festival et notre première véritable émotion.
Cannes 2015 : Woody, Gus et Nanni
par Jacques Kermabon
Le fils de Saul (Saul fia) pourrait n'être qu'un film sur la shoah de plus, il est une véritable descente aux enfers.
Cannes 2015 : SAUL FIA de Laszlo Nemes
par Philippe Gajan
Naomi Kawase aurait dû mieux écouter les leçons de la vieille dame et laisser aux émotions le temps d’émerger et au monde filmé celui de laisser son empreinte.
Cannes 2015 : AN de NAOMI KAWASE
par Jacques Kermabon
En ces temps d'austérité et de valeurs morales en détresse, un (mélo)drame réaliste s'imposait pour l'ouverture puisque la case écolo était prise par la clôture. Ce sera donc La tête haute d'Emmanuelle Bercot, cinéaste, scénariste et actrice sincèrement préoccupée par l'enfance délabrée.
Cannes 2015 : Mommy 2 ?
par Philippe Gajan
Le décor est déjà en place, la circulation dans les rues proches du palais a été modifiée, les tapis rouges sont déroulés sur les marches, les affiches couvrent les façades des hôtels de luxe, les bannières sur les balcons face à la mer signalent la présence de telle ou telle maison de production ou revue de cinéma.
Cannes 2015, J-1 : sur les starting blocks
par Jacques Kermabon
Hot Docs se termine à Toronto après dix jours de projections bien remplis.
Hot Docs 2015 – suite et fin
par Claudia Hébert
À mi-parcours du festival, quelques découvertes documentaires